Film d’anticipation mêlant sience-fiction et fantastique: #ARDA#
T…, un homme d’une trentaine d’années, se réveille, amnésique, dans une ville remplie d’écrans qui diffusent une image blanche. En arpentant les rues de la ville, il réalise que les habitants de la cité ont tous les mêmes yeux blancs sans expressions et un comportement d’automates empêchant toute interaction. Le parcours solitaire de T… débute alors dans ce monde étrange, sombre et labyrinthique.
T…, unique personne dotée de la vue, finit par remarquer que ses propres émotions influent sur l’activité des écrans. Sur l’un d’eux il aperçoit la silhouette fantomatique d’une femme en robe rouge : Ariane. Celle-ci, pourvue d’un profond regard, guidera T… vers la sortie de cette cité, gigantesque dédale onirique.
Hors de la ville, c’est une errance au sein d’une campagne désaffectée que T… entreprendra la quête d’une humanité perdue.
Film d’anticipation mêlant science-fiction et fantastique, Au Royaume des Aveugles se pose, comme une fable politique et poétique interrogeant la puissance et l’omniprésence du flux des images dans notre société occidentale contemporaine. Cette question en entraîne une seconde : De quelle façon l’humain peut-il émerger dans un monde qui se déshumanise à grande échelle ?
Ce récit, nourri d’une dimension onirique forte, débute par l’errance de T…, un homme qui se réveille amnésique et doté de la vue, dans une ville peuplée d’aveugles. Dans cette cité fictionnelle, des multitudes d’écrans ont remplacé les fenêtres et diffusent une image blanche et hypnotique. L’image informe, résultant d’un flux ininterrompu, altère la perception et le mode de vie des êtres humains qui ne se dévoilent plus que comme des êtres sans conscience ni émotions, arpentant comme des spectres un monde vidé de sa substance. T…et le spectateur découvriront ensemble la peinture d’un univers sombre et angoissant.T…, très animal au premier abord et rongé par une profonde solitude, rencontre Ariane, troublante femme à l’allure fantomatique. Celle-ci appartient au monde des images : elle n’apparaît que sur les écrans de la ville, brisant leur flux pour guiderT… vers sa sensibilité perdue, vers une conscience oubliée.
Ce véritable parcours initiatique d’un homme vers sa propre humanité prendra toute son ampleur au sein d’une narration hallucinée, prenant les allures d’un rêve éveillé… L’essence du projet est de faire appel à différentes techniques dans une optique d’expérimentation. Si certains décors seront naturels ou construits, les extérieurs de la ville, eux, prendront vie grâce à des techniques numériques.
L’idée est non pas de calquer l’esthétique de grands films de science-fiction, mais au contraire, d’expérimenter une esthétique propre et originale grâce à des pratiques artistiques diverses . C’est dans cette perspective que l’équipe s’est constituée de personnes extrêmement motivées, étudiants ou non, tous issus de formations différentes. L’objectif, est d’aboutir à une œuvre sensible et originale. Un film oscillant à la limite du cinéma de genre et du cinéma d’auteur, s’élaborant au sein d’un système de production alternatif.
INFLUENCES MAJEURES
Littéraires
Bercé plus jeune par des récits d’anticipations, 1984 de George Orwell (1949) fut sans doute la base de la première version de mon scénario. Orwell y peint avec clairvoyance une société sombre, sécuritaire où l’écran n’est plus un objet que l’on regarde mais qui nous regarde.
Le Procès de Franz Kafka (1925) constitue aussi une influence majeure par l’univers absurde et labyrinthique dans lequel se perd le personnage. Nous pourrions également citer des ouvrages tels que Nous autres d’Eugène Zamiatine (1920) ou encore Fahrenheit 451 de Ray Bradbury.
Cinématographiques
Le film est en premier lieu marqué par l’influence du cinéma de genre et l’univers mis en place, comme dans Metropolis de Fritz Lang ou Vidéodrome de David Cronenberg.
Le cinéma d’auteur est un autre vivier d’inspiration. Ainsi, l’étrangeté et l’onirisme des films de David Lynch ou encore dans l’évanescence et la beauté de Stalker (1977) d’Andrei Tarkovski influenceront l’esthétique et la narration.
Park Chan Wook et ses réalisations éminemment baroques constitue une autre référence majeure quant à la mise en scène.
Jeux vidéos
Les influences du projet sont également vidéo ludiques. Avec principalement la série des Silent Hill (1999 – 2015), par son univers anxiogène, sa direction artistique forte et sa bande son poignante…
La ville
La ville est à concevoir comme une entité à part entière ; elle se caractérise comme un véritable monstre moderne; omniprésente et insaisissable. Sa conception d’abord froide, épurée et sans couleur, devra témoigner de la place fondamentale occupée par l’image, essentielle à son fonctionnement.
La création de l’extérieur de la ville est envisagée grâce à des techniques différentes (modélisation 3D, pose de trackers, maquette physique). Le parti pris assumant la facticité formelle d’une cité virtuelle.
Les intérieurs, tournés en décors réels, révèleront l’envers de cet univers sans aspérités, comme pour révéler la vraie dimension d’une ville plus lugubre, plus organique et dont la véritable physionomie ne se dévoilera que petit à petit.
Cet environnement, directement lié à l’évolution psychologique de T…, se matérialise comme un labyrinthe physique et mental dans lequel se perd le personnage.
Les écrans
Les écrans sont des figures primordiales de cet univers au sein duquel l’image possède une place centrale. Leur statut est ambivalent : ils sont à la fois les émetteurs de cette image blanche qui rend la population aveugle, et cet espace dans lequel apparaîtra Ariane, véritable guide du personnage principal.
Remplaçant les fenêtres de la ville, la multiplication de la figure de l’écran est à considérer comme la représentation du flux des images. Mais plus encore, c’est une véritable organicité des écrans qui est instaurée au cours de la narration.
L’écran ne sera plus seulement perçu comme une surface sur laquelle apparaît des images mais comme une interface permettant le passage d’un monde à l’autre, du réel à la fiction.
Les Aveugles
Les aveugles, réelles cellules de cet organisme urbain, seront traités de façon particulière. Miroir d’une misère humaine certaine, ils seront intrinsèquement caractérisés par des yeux blancs et sans expression. Leurs visages maigres et décharnés attesteront d’une profonde fatigue d’êtres sans repos.
Si les aveugles peuvent évoquer la figure inquiétante du zombie, ils sont néanmoins passifs, constituant une masse fidèle au système en place. Ces personnages inoffensifs pour T…, devront toutefois se faire vecteurs d’une réelle inquiétude, pour le personnage et le spectateur.
Chez les aveugles, une profonde souffrance, vestige d’une humanité perdue, se dévoilera au cœur d’une apparence anxiogène.
T…
Personnage principal du film, T…, seule personne dotée du regard, représente l’unique véritable figure humaine de cet univers.
D’abord rongé par une profonde solitude et perdu dans un monde étrange, le principal enjeu du personnage sera la reconquête de son humanité perdue.
Son réveil, assimilé à une naissance, sera suivi de l’errance de ce personnage marginal dans un monde auquel il est inadapté.
Très animal au début du récit, il s’humanisera progressivement grâce à sa rencontre avec Ariane.
Elle lui apportera la vision d’un espoir possible, ce qui le poussera à agir.
Ariane
est un personnage éminemment énigmatique. Appartenant au monde des images, elle n’apparaîtra que sur les différents écrans rencontrés par T… . Après une allure première fantomatique et inquiétante, c’est in fine une certaine grâce qui qualifiera ce personnage évanescent.
Brisant le flux et redonnant une profondeur à l’image, c’est ellequi réveillera T… et le guidera tout au long du film.
Le choix d’une chanteuse pour interpréter Ariane n’est pas anodin. La musique du film (thème original), véritable fil rouge, sera intimement liée à ce personnage et viendra signifier sa présence à maintes reprises.
La musique et le son
Le film ne contient aucun dialogue; par conséquent, le travail de la musique et du son constituent des points majeurs de l’esthétique globale.
Ainsi, l’univers visuel sera prolongé par la création d’un véritable espace sonore donnant vie et corps au monde créé.
La musique, composition originale, accompagnera le parcours du personnage pendant le récit. Introduite au scénario, elle fait partie intégrante du film et constitue une part prégnante de son identité; autant par son rôle dans la dramaturgie globale que par l’ambiance et la dimension nouvelle qu’elle conférera au film.
La composition d’une musique originale a déjà débuté, influencée en grande partie par des groupes de musique post-rock : Godspeed You ! Black Emperor, Red Sparowes, Explosion In The Sky, Ez3kiel...; post-hardcore : Kylesa, City of Caterpillar, Cult Of Luna… ; rock progressif : Pink Floyd ou encore de l’électro : Gesaffelstein.
Les décors extérieurs
Les décors intérieurs
Recherches / Dessins d’études
Le story board: aperçu
Au Royaume des Aveugles est un projet ambitieux, dont le but est d’atteindre un résultat d’envergure professionnelle avec un budget réduit. La somme totale nécessaire pour tourner ce film est de 8000 euros. Nous avons déjà pu récolter des aides étudiantes. Le FSDIE de Paris 8 nous a promis 2500,00 euros et le CROUS de Créteil, par l’organisme Culture-actions, 500,00 euros.
Au regard du reste à produire, il nous manque donc un minimum de 3000,00 euros pour que ce film existe…
Le budget en détail…
LES DÉCORS ET COSTUMES
DECORS NATURELS INTERIEURS : OBLIGATOIREMENT GRATUITS
DECORS NATURELS EXTERIEURS : GRATUITS
MEUBLES ET ACCESSOIRES : 1200€
EFFETS SPECIAUX & CASCADES : 250€
COSTUMES : 700€
COIFFURE ET MAQUILLAGE : 400€
LES TRANSPORTS, DEFRAIEMENTS, REGIE
DEPLACEMENTS AVANT TOURNAGE : NON PRIS EN CHARGE
TOURNAGE : 500€
DEFRAIEMENTS REGION PARISIENNE : 200€
BUREAUX ET FRAIS AFFERENTS : 150€
REGIE ET DIVERS : 3000€
LES MOYENS TECHNIQUES
PRISES DE VUES EN VIDEO : PRÊT GRACIEUX, ENVELOPPE DE 100€ POUR LES CONSOMMABLES
MACHINERIE : PRÊT GRACIEUX, ENVELOPPE DE 100€ POUR LES CONSOMMABLES
ECLAIRAGE : PRÊT GRACIEUX, ENVELOPPE DE 100€ POUR L’ÉLECTRICITÉ ET DE 100€ POUR LES CONSOMMABLES
SON : PRÊT GRACIEUX, ENVELOPPE DE 100€ POUR LES CONSOMMABLES
FINITIONS SONORES : DIY
LES PELLICULES ET LABORATOIRES
PELLICULES (= DISQUES DURS) : 200€
LES ASSURANCES ET DIVERS
ASSURANCES ET IMPRÉVUS : 1000€
TOTAL : 8000€
Si l’objectif atteint est de 3000 €…
Le film pourra se tourner !
MERCI !
Toute l’équipe technique et artistique intégralement bénévole pourra être nourrie et défrayée lors du tournage
Avec un objectif atteint de 4000 €…
Vous êtes formidables ! !
MERCI ! MERCI !
Des achats de matériel supplémentaire
Avec un objectif atteint de 6000€….
Nous sommes si reconnaissants !!!
MERCI ! MERCI ! MERCI !
Paul Dufour-Coppolani : Auteur-Réalisateur
Il a été réalisateur et technicien sur plusieurs courts-métrages, des chroniques web, des clips, dans le cadre de nombreuses expériences associatives :Les Daiguennes , La Volière , Les Films du Cartel, tout en obtenant en parallèle un Master 2 Recherche en théorie du cinéma à l’Université de Caen Basse Normandie. Il termine actuellement un Master 2 professionnel Cinéma mention Réalisation et Création à l’Université de Paris 8. Ce parcours qui associe la pratique et la théorie du cinéma exprime une fascination obstinée pour cet art. La musique prend une place essentielle dans sa vie; il travaille, avec Maxime Féret et Laure Le Prunenec, à la composition musicale du film.
Ce jeune réalisateur défend un cinéma indépendant. Il admire par exemple le travail de metteurs en scène de films tels que Telepolis d’Esteban Sapir (2007), Tetsuo de Shinya Tsukamoto(1989),Eraserhead de David Lynch (1977), Bellflower d’Evan Glodell (2011) ou encore III de Pavel Khvaleev (2015).
Les thématiques qui l’animent sont celles de l’humain, de l’inhumain, du monstre. Mais aussi du corps et de la machine sans oublier l’image, le regard et l’écran, comme une mise en abyme.
« L’art est un formidable vecteur d’humanité pour peu que l’artiste soit sincère. Il permet à tous, par un travail sensible des formes, de mieux appréhender notre monde. Le cinéma m’a ouvert les yeux de nombreuses fois, j’aimerais pouvoir en faire autant pour mes spectateurs ! »
Le projet, sur les rails, se développe depuis plusieurs mois ; les différentes équipes : mise en scène, community management, décors, costumes, effets spéciaux, musique, graphisme, image, lumière, etc. travaillent d’ores et déjà à la préparation de ce film qui demande un investissement considérable en temps et en énergie. Différentes versions du scénario se sont succédées, chacune nourrie par un travail de conception graphique, d’études de décors, de costumes, de musique, etc.
Pour cela, l’équipe, qui s’est constituée au fil des mois, est entièrement bénévole et mêle étudiants et professionnels du cinéma, techniciens et acteurs. Tous se sont réunis autour de ce projet audacieux,animés par la passion du cinéma et par une véritable foi dans ce film original, comme il en existe peu dans le cinéma français.
LES ACTEURS
Arthur Vandepoel : Acteur (interprète T…)
Ila toujours été fasciné par le métier d’acteur : après avoir voulu être gymnaste, pilote de rallye, puis pilote de chasse, faire l’acteur lui a finalement paru plus raisonnable …Il commence à jouer dans des films de copains, au lycée, en option cinéma. Puis il intègre le Conservatoire de Clermont-Ferrand en 2006 pour rejoindre, en 2010, le Conservatoire de Lyon où il ne reste que quelques mois. Puis il entre au Compagnonnage-Théâtre du Nouveau Théâtre du Huitième (Nth8) à Lyon.
Enfin, il est acteur ! Comédien !
Il rencontre le Collectif, remodelé en compagnie depuis, Les Souffleurs de Verre. Leur travail est exigeant, notamment sur le plan physique, avec des acteurs qui savent bouger. Il participe à huit de leurs spectacles.En 2013, il est casté par l’équipe du film Géronimo que s’apprête à réaliser Tony Gatlif. Il est comblé !
Le théâtre et le cinéma ont développé ses engagements artistiques et politiques. Il aide un ami à l’écriture d’une pièce de théâtre sur Wikileaks, puis à l’adaptation d’un roman sur la tuerie d’Utoya, en Norvège, en 2011.
L’important revendique t’il « c’est d’ouvrir les yeux et de ne pas vivre au Royaume des Aveugles ! »
Laure Le Prunenec : Actrice (interprète Ariane),compositrice et chanteuse
Elleétudie le solfège et le piano pendant 8 ans et intègre un cours de chant lyrique avec l’apprentissage des bases (souffle/Gammes/Posture etc) pendant un an. Elle rejoint ensuite un atelier jazz où l’improvisation lui ouvre les portes de la composition, et d’autres recherches musicales.Laure Le Prunenec chante aujourd’hui dans les groupes Igorrr,Corpo-Mente et travaille parallèlement sur son projet personnel Rïcïnn.
« J’ai toujours eu un souci avec le langage, déjà petite je parlais très peu, on ne parlait pas beaucoup à la maison… J’étais beaucoup dans mon imaginaire. Je me souviens que je commençais déjà, quand j’avais à peu près 10 ans, à écrire des formules magiques dans une langue inconnue. Je jouais à la sorcière, je créais des potions qui faisaient du bien … Je ne sais pas pourquoi mais je sens que ce langage est né à ce moment-là. »
L’EQUIPE TECHNIQUE
Samy Hafid : Directeur de production
Sensible à la culture et à l’art, ses quatre années de pratique du théâtre en témoignent, Samy s’est redirigé vers la production cinématographique après trois années d’ingénierie en télécommunications. Développant et réalisant en parallèle des court-métrages personnels dans des manifestations de type Kino Cabarets, Marathon du court-métrage … il cumule depuis des années des expériences professionnelles en assistanat de mise en scène, de régie générale, et depuis 2016, en direction de production.Fortement attiré par les cultures alternatives, il a organisé plusieurs concerts de groupes de musique indépendants ou des projections de court-métrages réalisés dans des structures universitaires.
Il affirme être très heureux de mener la production de ce projet atypique qui englobe à la fois une pratique et un genre de cinéma dont il regrette le manque en France !
Saurédamor Ricard : 1er assistante réalisatrice
Parallèlement à ses études de cinéma (Master 2 professionnel de Réalisation à Paris 8), Saurédamor Ricard s’est forgé une expérience d’assistante réalisatrice sur différents courts métrages tels que Naturellement, de Lucie Clayssen, ou encore Grands sont les déserts, de Lena Renard, produit par le GREC et l’IUT di Corsica. Elle a été également seconde assistante sur le long métrage Ma soeur d’Agathe et Noélie Giraud. Ses différentes participations à l’élaboration de films, ainsi que ses propres réalisations, mais aussi son expérience du théâtre lui ont permis de développer son regard sur le jeu d’acteur pour endosser le rôle de directrice de casting sur ce projet.
Emerson Le François : chef opérateur
Chef opérateur et directeur de la photographie, Emerson Le François est passionné par l’image. Il travaille sur différents types de projet comme des longs et des courts métrages, de la publicité, des vidéos, des clips. Il est toujours à la recherche de nouveaux défis. Il est équipé d’une RED EPIC DRAGON, mais peut travailler avec tout type de matériel.
Mathilde Martouzet : Ingénieure du son
Diplômée de l’École Supérieure des Arts Visuels de Marrakech, au Maroc, Mathilde Martouzet a bénéficié d’une formation pratique aux métiers du son dans le domaine du cinéma. Au fil de ses expériences professionnelles, elle a acquis des compétences techniques en prise de son, en montage son et mixage, pour des longs et courts métrages de fiction et documentaires.
Marcelo Urbina : Chef Décorateur
Architecte diplômé il prend la décision de quitter le Chili et de venir en France où il se dédie entièrement à sa passion : le cinéma. Après une licence de cinéma, il s’inscrit en Master II Réalisation et Master II Théorie, Esthétique, Mémoire du cinéma à l’Université Paris 8. En tant qu’architecte, ses domaines se concentrent sur la compréhension, le développement du comportement humain et l’espace où il se déroule. Ceci nourrit sa vision du cinéma, laquelle commence à se formaliser dans ses premières propositions filmiques, avec deux courts métrages en tant que réalisateur et la mise en scène de deux clips de musique en tant que chef décorateur.
Charlotte Le Gal : Chef Costumière
Après des études de stylisme modélisme à Paris suivis de stages en haute couture, Charlotte Le Gal part apprendre de nouvelles techniques artisanales dans le textile en Amérique Latine. Elle y crée son entreprise de production textile : PEROU TEXTILE, qui propose la réalisation du simple croquis au développement, soit le processus entier d’une collection prête à être mise en rayon. De retour en France, elle se dirige vers la création et la production de costumes pour le théâtre, le cirque et le cinéma tout en gardant son entreprise ouverte à tout type de projet textile.
Jean-Baptiste Baudet : Chef VFX
Après avoir obtenu une licence de cinéma à Paris 8 , Il est désormais étudiant en Master 1 ATI, Arts et Technologies de l’image. Jean-Baptiste a exposé avec Jérémy Reveniaud au MAC de Créteil pour l’exposition EXIT,une oeuvre interactive associant le son et l’image
A l’occasion d’un stage de 2 mois à Firm Studio, il a travaillé sur un long métrage (et une publicité pour sac poubelles Handybag). Il enchaîne ensuite chez Small studio, le nouveau studio principalement publicitaire ou clip de MacGuff.
Jérémy Reveniaud : Chef VFX
Après un baccalauréat scientifique et un DUT Informatique Imagerie Numérique, Jérémy Réveniaud travaille 3 mois en Chine dans un studio d’animation. Il exerce ensuite en studio à Paris pour de la publicité et du développement de jeu VR, et poursuit désormais un Master 1 ATI, Arts et Technologies de l’Image.
Julie Cutaia : Conceptrice graphique et story-boardeuse
Un profil artistique éclectique : formée en Arts appliqués où elle se spécialise en communication visuelle, elle s’est dirigée ensuite vers les Beaux-Arts et obtient un DNAP. Suite à cette formation, ses qualifications initiales en dessin et graphisme se sont étendues à l’audiovisuel et au cinéma. Ce nouvel intérêt s’est confirmé lors d’un Master 1 en Cinéma à Caen, puis lors d’une Licence professionnelle de montage à Lyon. Elle s’est engagée sur le projet dans un premier temps comme conceptrice graphique et story-boardeuse. Elle sera sans doute amenée à contribuer plus tard au montage du film.
Maxime Féret, compositeur et musicien
Musicien autodidacte depuis une dizaine d’année, membre de plusieurs groupes de rock (batterie et guitare) Maxime Féret est intéressé par la musique expérimentale. Il a initié un travail de recherche autour d’instruments alternatifs fabriqués tout en continuant de composer de la musique, ce qui l’amène parfois à collaborer à des performances sonores.
Après un CAP d’ébénisterie il se forme à la lutherie guitare pour se concentrer en particulier sur la lutherie parallèle. Aujourd’hui, il fait partie d’un groupe de musique : Cielo Drive, mélangeant improvisation visuelle et sonore. En plus de travailler sur la bande son du film, il participe également à la création d’une pièce de théâtre pour des lycéens qui utilisent sur scène des instruments bruitistes.