Le nouvel album
Chers amis forcément mélomanes,
Nous avons l’ambition de sortir un huitième album studio en septembre prochain, un album qui ne pourra pas se faire sans vous.
Aussi, aujourd’hui, nous vous invitons à rejoindre notre équipe ! Nous ne vous cachons pas qu’au niveau des textes, des musiques, de l’enregistrement, des visuels… les postes sont déjà pris. Alors, à quel titre pourriez-vous l’intégrer ?
Tout simplement en devenant crowdfunder !
Après un troisième palier franchi, nous voilà entrés dans la dernière ligne droite de cette campagne ! Nous ne sommes pas loin d’en faire un reccord dans le crowdfunding pour la réalisation d’un album ! Avec la somme déjà récoltée, nous avons la possibilité d’offrir une belle vie à ce disque en finançant un événement médiatique digne de ce nom sous la forme d’une première puis d’une deuxième campagne de presse ciblée, d’un concert special pour la sortie de l’album, et d’un clip beau comme un camion conduit par un vrai fan de Johnny – inutile que je me lance dans une description balzacienne en diable, vous avez parfaitement compris ce que je veux dire…
Si votre indispensable soutien nous permet de réussir notre campagne, il ne faut pas oublier le deuxième effet Ulule : les contenus exclusifs** (vidéos autour de la genèse du disque, extraits de nouveaux titres, sessions acoustiques…) et les indispensables et inédites contreparties auquel votre statut de crowdfunder vous donnent accès et qui sont autant de manières pour nous de vous dire merci !
Laurent, Jean-Marc, Paul, Yves & l’équipe Adone
*Le chapitre consacré aux paliers (cf. plus bas sur la page) vous donnera tous les détails du financement.
** Important !!! Afin de bien recevoir les contreparties en format numérique, les news Ulule avec leurs contenus exclusifs, les vidéos… pensez bien à rentrer dans votre profil Ulule une adresse mail valide et non l’adresse mail du compte que vous ne regardez jamais, ou celui dont vous avez oublié le mot de passe… Sinon, ça va moins bien marcher. Bah oui. Logique. Ça, c’est quand même un super bon conseil, non ?!
Et en parlant de contenus exclusifs, en voici un tout nouveau justement : Yves en pleine séance de travail sur l’un des nouveaux morceaux !
Un petit extrait acoustique de notre tout nouveau morceau “Pourquoi ?”
(enregistré en loge, lors de notre concert au Grand Angle à Voiron, sur un ordinateur… Précision que vous jugerez sans doute indispensable lorsque vous aurez vu, mais surtout entendu cette vidéo. Même si la collecte Ulule est incroyable, elle ne nous permet pas encore de nous ballader avec notre studio d’enregistrement portatif. C’est moche.)
« Faites l’humour, pas la guerre »
Les Fatals Picards… ou Gengis Kahn
Vous l’avez compris, l’argent est pour nous le nerf de l’humour, l’élément indispensable pour la réalisation d’un album digne de ce nom. Si le processus créatif – l’écriture des chansons, le maquettage, les répétitions… – ne demande guère d’investissements financiers, il en va tout autrement pour le reste.
Faire un disque, c’est choisir un voire plusieurs lieux susceptibles de nous plaire pour effectuer les enregistrements de nos instruments et de la voix magique et sensuelle de Paul. C’est aussi, parfois, s’offrir le luxe d’inviter d’autres musiciens capables d’apporter cet indispensable supplément d’âme à des chansons qui ne demandent que ça – imaginer, ce n’est qu’un exemple parmi d’autres, Les lacs du Connemara de Michel Sardou sans cornemuse ni Michel Sardou ?
Faire un disque, c’est engager un ingénieur du son responsable des prises et du mixage de l’album, un homme ou une femme doué(e) d’une réelle maitrise technique, d’une oreille infaillible, d’une indéniable patience et, soyons honnêtes, d’un certain sens de la diplomatie : l’artiste étant, par essence, plus fragile et plus susceptible que 99% des espèces animales qui peuplent notre planète.
Faire un disque, c’est aussi payer un graphiste pour transformer un simple morceau de plastique en un superbe objet de convoitise délicatement glissé dans un écrin de velours ou de carton – c’est d’ailleurs vraiment con que le velours coûte si cher de nos jours…
Faire un disque c’est aussi « masteriser » l’album avant de réaliser son pressage à plusieurs milliers d’exemplaires, payer d’importants droits à la SDRM (Société pour l’administration du Droit de Reproduction Mécanique des auteurs, compositeurs et éditeurs), acheter des espaces publicitaires, s’attacher les services d’un ou d’une attaché(e) de presse, réaliser un voire deux clips pour que le monde entier découvre à quel point notre présence sur la scène musicale française depuis tant d’années ne tient pas qu’à notre physique mais aussi à nos corps d’athlètes…
Faire un disque, en décidant de se servir du financement participatif, c’est aussi imaginer une foultitude de contributions digne du génial crowdfunder que vous êtes, des contributions qui ont un coût non négligeable.
Enfin, faire un disque dans ces conditions, c’est devoir verser un pourcentage à Ulule sans qui rien ne serait possible, un pourcentage à Adone pour rémunérer les personnes qui vont travailler d’arrache-pied sur la campagne, et un autre pourcentage à l’État sans qui rien non plus ne serait possible même si ça peut parfois faire mal aux finances…