Une traversée onirique du désert
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SYNOPSIS
Dans une pièce hors de l’espace et du temps, une femme questionne un homme sur le désert.
Il raconte.
Ailleurs une femme marche dans le désert, elle y croise un homme. Ils continuent leurs chemins, elle vers la société, lui vers le désert.
Sous forme de conte philosophique ce court-métrage évoque ce que peut être une « traversée du désert ». Paradoxal, métaphorique ou non, le désert n’existe que dans le rapport que nous entretenons avec la société. Il apparaît comme un lieu de vide, de perdition, mais aussi de salut.
Il n’ a pas une histoire à proprement parler. Ce sont plutôt des histoires. Dans les versions précédentes, il y avait une intrigue, un conflit intérieur… mais le but recherché n’était pas atteint. Celui-ci est de montrer l’individu désemparé face à une société omniprésente et qui cherche, dans un désert qui peut être métaphorique, les ressources pour s’y confronter… Comme dans Paris, Texas.
Il s’agissait aussi de développer une autre forme narrative. Dans TALKATIVE DESERT, il y a en parallèle une narration sous forme de dialogue mais qui pourrait être un monologue intérieur, et une autre, par l’image. Elles ont chacune leur vie propre, mais sont mise en relation parce qu’elles abordent les même sujets. Cela crée un décalage que seul l’audiovisuel est à même de faire percevoir.
Il y a aussi le thème de la pluralité de l’individu…
Nous traversons tous et tout au long de la vie des périodes de profond décalage entre la réalité sociale, celle que nous créons collectivement, et nos aspirations intérieures. L’homme qui parle est interrogé par une femme, mais elle peut très bien être un produit de son esprit, une part de lui-même qui vient activer ses réflexions. La rencontre entre la femme et l’homme dans le désert montre simplement deux êtres humains dans un rapport extra-social : Comment l’interaction entre deux individus peut-elle échapper aux règles ? Y en a-t-il d’autres possibles, si l’on écoute plus attentivement nos sentiments ? Ce sont là une partie des thèmes abordés grâce à ce format narratif.
QUELQUES VIGNETTES DU STORY BOARD
Par Victor Leverrier, étudiant en image imprimée à l’ENSAD de Paris.
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Ça, c’est Amira qui s’en charge !
Influencée par les plus grands cinéastes, elle s’inspire du style de Stanley Kubrick et de Wes Anderson en passant par Brian De Palma, Francis Ford Coppola et tant d’autres.
Des cadres propres et très souvent symétriques, peut-être même trop souvent :)
Pour ce projet elle décide de s’inspirer de certains plans de Las Vegas Parano, de Breaking Bad, du merveilleux plan séquence de La Cicatrice Intérieure et tant d’autres.
Ou encore de Trainspotting
Pour le huis clos elle choisit de faire des plans très serrés sur les détails des personnages.
Elle veut aussi jouer avec le format de l’image, s’ispirant du célèbre Mommy de Xavier Dolan.
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Page Facebook du film :
Grâce à cette somme nous pourrons louer du matériel professionnel afin d’avoir le meilleur rendu possible. Ce matériel est composé d’une caméra Blackmagic Pocket Cinema Camera, d’accesoires pour celle-ci (filtres, follow focus, une crosse épaule, etc.) ainsi que d’objectifs (du 21mm au 200mm) ; quelques projecteurs (blondes, panneaux LED, etc.), des micros H/F et directionnels et quelques accessoires de machinerie.
Grâce à cette somme nous pourrons prévoir un logement pour toute l’équipe pour les 8 jours de tournage prévus en Espagne ainsi que la nourriture afin de ravitailler comme il se doit toute l’équipe (dans les limites du raisonnable :)).
Nous nous rendrons en Espagne en voiture au départ de Paris et nous nous déplacerons sur le territoire pour avoir les meilleurs lieux possibles. Entre l’essence et les péages, ce sera notre plus grosse dépense.
Pour avoir les plus belles images possibles nous tournerons dans un village et dans des ruines classés patrimoine mondial de l’UNESCO, et oui rien que ça ! Qui sont malheureusement payant…
Si, par miracle, nous réussissons à récolter plus que prévu, cette somme nous servira à rémunérer nos commédiens ainsi qu’à financer une partie de la post-production, cela dépendera de votre générosité ;).
Hormis une journée de tournage prévue à Paris pour les scènes d’intérieur nuit, les scènes d’extérieur seront tournées en décors réels, en Espagne (Aragon et Andalousie). Nous avons retenus trois lieux principaux : Belchite au sud de Saragosse (2 jours) ; Albarracin , à l’ouest de Teruel (2 jours) ; Le désert de Tabernas en Andalousie (3 jours).
FRAIS DE TRANSPORTS
Au départ de Paris, en incluant chaque étape, les repérages, ainsi que le retour à Paris, nous devrions parcourir plus de 3500km pour ce tournage.
Les frais de transport prévisionnels sont de 800 €.
BELCHITE (ARAGON)
Les ruines de la vielle ville de Belchite détruite lors de la Guerre d’Espagne. Elles servent de décor à l’homme qui s’enfonce dans le désert, en négatif avec l’entrée de la femme du désert dans la ville. C’est la première étape du tournage. Après une journée de route et une nuit sur place, nous y prévoyons une journée de tournage et une seconde nuit.
Prix indicatif : 70€ par nuitée.
Les frais de tournage sur ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco sont de 390€.
ALBARRACIN (ARAGON)
Deuxième étape du tournage. Ce village sert de cadre au retour de la femme à la civilisation. Il accueille actuellement les représentants de 70 des « plus beaux villages du monde » pour une manifestation officielle. Ses environs serviront également de cadre au traversées de paysages semi-arides et plus verdoyant après que la femme soit sortie du désert.
Nous y prévoyons deux jours de tournages et deux nuitées.
Prix indicatifs : 80 € par nuitée.
DÉSERT DE TABERNAS (ANDALOUSIE)
Désert qui a servi de décor à de nombreux westerns « spaghetti ». C’est le cadre principal du court-métrage. Il illustre la narration et c’est là qu’évoluent les deux personnages du désert.
Nous y prévoyons trois jours de tournage et trois nuitées.
Prix indicatif : 70 € par nuitée.
NAISSANCE DU PROJET
L’ÉQUIPE
CHEF OP
Amira veut faire du cinéma ! Sans passer par les écoles dédiées, elle se lance : régisseuse, éléctro, cadreuse, chef op, elle s’essaye à tous les aspects techniques du métier.
L’image c’est son dada, mais elle ne rechigne pas à être machiniste sur des clips ou des courts métrages amateurs.
LE RÉALISATEUR
Antoine a fait des études, il pense à devenir professeur d’histoire et essaye plusieurs activités, mais il s’ennuie …
Alors il veut raconter des histoires, parce que c’est essentiel pour lui. Que ferait-on sans contes, sans narrations pour nous faire rêver, penser, évoluer.
Bref Amira et Antoine veulent réaliser de beaux projets. Alors ils travaillent ensemble, entre amis. Amira l’entraîne a faire du cinéma, pubs, clips, c’est collaboratif, sympa quoi ! Mais pas encore de fiction… TALKATIVE DESERT, avec votre aide, sera la première.
Ce qu’elle a de bien pour nous, c’est qu’elle mêle une écriture franche et fluide, à la promesse de belles images, en donnant la possibilité à de jeunes musiciens de faire entendre une musique qui se prête au désert, le blues.
LES COMÉDIENS / MUSICIENS
Adèle chante et s’accompagne à la guitare. Et elle fait ça bien. Après avoir chanté dans plusieurs groupes à Paris et à Rome, elle a accepté de se lancer dans ce projet. Elle est la femme du désert.
Composer le thème du film avec l’équipe, et apporter son univers musical, inspiré par Amy Winehouse, comme par le blues ou la bosa nova, c’est aussi une partie de son job.
Le défi pour elle, jouer dans un film pour la première fois !
Marco. Musicien de génie. Guitariste hors pair. Il s’essaye parfois au chant, mais abandonne très vite pour revenir vers son instrument. Rockabilly, blues, son répertoire est déjà bien défini.
Il maîtrise aussi bien les plus grand tubes de Gene Vincent que ceux de Jimi Hendrix, ce qu’il ne l’empêche pas de nous jouer de petits riffs des Arctic Monkeys. Pour faire court, qui de mieux que lui pour participer à ce projet. Il est l’homme du désert.
Ce qui nous anime ?
Rien de plus que de produire de belles choses, qui pourront servir de support à celles et ceux qui les verront, les entendront.
Merci de nous avoir lu jusqu’au bout
Et si ça vous a plu, n’hésitez pas à contribuer !