Participation au festival d’Avignon OFF.
Bonjour, il m’est arrivé de nombreuses fois d’accorder mon soutien à des projets Ulule. Aujourd’hui, c’est mon tour de créer un compte. Beaucoup de personnes m’encouragent au quotidien dans mes idées, en l’occurrence si une grande partie de mes contact attribuent une participation même moindre, cela pourrait être un bon moyen pour le lancement de mon projet. La Compagnie Giovanni Martinat nécessite un budget de près de 15 000 € (premier palier à 5000 euros) voir l’onglet suivant “A quoi va servir le financement”.
Véritable vitrine du spectacle vivant en France, Avignon OFF brasse un millier de spectacles durant trois semaines en juillet. Les spectateurs amoureux de théâtre y côtoient les responsables de salles de toute la francophonie, et dans ce formidable vivier se tisse la programmation de nombreux théâtres pour les deux saisons à venir. Pour un spectacle, être représenté en Avignon est à la fois une chance, un challenge et une véritable opération de séduction…
Entreprendre Avignon, pour une compagnie, c’est prendre un risque financier calculé, en considérant qu’il s’agit d’un investissement à long terme, dont les retombées sont essentiellement liées aux programmations futures.
Je suis actuellement en train de sélectionner les danseurs de ma future création. Nous commençons à attaquer les résidences courant août. La somme total reversée m’aidera à financer l’accès au festival d’Avignon OFF 2018. Très réputé en France, nous voudrions nous révéler à travers cette opportunité. Je suis convaincu que la culture peut-être une clef pour un monde meilleur. Pour se faire je souhaite véhiculer de belles valeurs à travers l’art de la danse. Merci d’avance pour votre aide.
Note d’intention :
Bon ou mauvais, magique ou épouvantable, on a tous déjà vécu ce genre de moments dans notre vie.
Des souvenirs qui nous envahissent au quotidien et qui font ce que nous sommes aujourd’hui.
Aussi, certains soirs, étant bercé par la nostalgie ou la mélancolie, ces souvenirs nous empêchent de nous endormir.
Irraisonné, on a même déjà songé et espéré pouvoir revenir en arrière.
Revivre certains moments ou pouvoir en changer d’autres afin d’inverser le cours des choses.
En l’occurrence, si le chemin de la vie été réversible, nous saurions et pourrions revivre et réparer chaque instant choisi. Et si à l’instar de la réalité, c’était possible, qu’est-ce que cela engendrerais ?
Extrait du journal de création :
… je compte également, par ma création; ouvrir les esprits pour contrer les vices qui circulent incommensurablement.
Il y a des individus dont le degré de méchanceté est beaucoup plus élevé que la moyenne. Et il y en a partout, pour preuve, un des pêchés originel de l’homme qui apparaît souvent est la comparaison. La comparaison accroît considérablement l’inégalité car elle suscite l’envie, et envier l’autre, se comparer, c’est engendrer l’amoindrissement de la réussite d’autrui. Il arrive même que l’homme jubile d’avoir amoindrit celle ci car l’homme est avare, il veut toujours plus que les autres. Lien de cause à effet, la haine fait son nid. Je suis intimement convaincu que cette hétérogénéité est évitable.
De nos jours, nous vivons dans un monde cruel, un monde où, je le crains, la bêtise humaine fait de plus en plus parler d’elle. Un monde qui nous inflige amèrement son ubiquité …
Un pied dans ma thématique …
Nous devrions tous songer au fait que la vie est un combat perpétuel et s’en servir plutôt que de s’apitoyer sur son sort. Aidons nous les uns les autres, laissons l’aigreur et l’animosité de côté, la jauge de cruauté doit s’évaporer. Il faut prendre la vie comme un rappel à l’ordre, une formation constante et ne pas renier les moments difficiles. Parfois insurmontables, ils sont tout de même nécessaires aux vues du développement de l’immensité des compétences physiques et mentales. C’est bien connu, la consternation transforme l’homme. Il n’y a pas que le complexe d’Oedipe et celui du homard qui change un individu à jamais. C’est faux, sur toute une vie nous avons plusieurs fois affaire à la convalescence et pour moi, c’est classable au même titre qu’un complexe. Changeons, oui, mais changeons positivement. Nous devons suivre la voie de la sagesse car elle est le fruit de la vie et elle s’acquiert avec le temps, bien qu’elle soit onéreuse. Posons nous les bonnes questions, appréhendons et anticipons chaque éventualité pour être prêt face à l’avenir, mais n’oublions pas le passé, il fait ce que nous sommes aujourd’hui.
En toute humilité j’aurais la prétention de dire qu’au delà de mon âme d’artiste, j’ai bien les pieds sur terre et je possède un grand sens humain. Un sens qui, je le souhaite, sera primordial au sein de mon travail.
Un artiste qui s’est trouvé est perdu, inconsciemment et consciemment. Je suis constamment en train de me chercher.
La seule chose que je pense réellement savoir c’est ce qu’humainement je vaux.
Je suis quelqu’un qui vit beaucoup avec le passé. Ma future création chorégraphique est un tissage entre le rationnel et l’irrationnel. Au travers de celle-ci, je veux bousculer et permuter les esprits. Je pense que la culture est l’un des meilleurs outil pour ouvrir l’esprit des gens. Leur inculquer de belles valeurs par le biais de morales. Je me fais le serment de batailler via la culture pour faire pencher la balance manichéenne du côté de la lumière. Celle-ci doit raisonner, je souhaite remplacer les poids par des éclats de rêve.
Le financement m’aidera à payer la location du théâtre afin que nous puissions être programmé quelques jours. Effectivement, afin de participer sereinement au festival, de lui donner les moyens de ses ambitions en terme de technique (matériel et techniciens), de communication (je dois pouvoir bénéficier d’outils de communication adaptés pour ce genre de festival. En effet, la communication est indispensable dans ce genre d’évènements, en l’occurrence elle doit-être conséquente. Graphisme, supports de communication, mailing professionnel, etc…). La logistique (transports, hébergement, restauration) et l’administration (location du théâtre, assurances, droits d’auteurs, etc.). La Compagnie Giovanni Martinat nécessite un budget de près de 15 000 € (premier palier à 5000 euros).
En 2012, Giovanni Martinat s’essaye à la création. Hip-hop non stop & Evi’danse seront ses deux premières chorégraphies et obtiendront chacune un premier prix dans des concours nationaux.
En 2013, le besoin de création s’accroît. Il crée la compagnie Giovanni Martinat (anciennement Kompagnie Koïncidance) dans laquelle il occupe le poste de directeur artistique. Giovanni décide de prendre son indépendance et d’orienter ses projets autour de diverses créations originales. A travers l’intemporalité dansée il décide de créer de manière hétérogène et de ne pas mettre les danses dans des cases mais bien d’expérimenter un style métissé à travers notre ère contemporaine. Il aime qualifier cette anagogie de danse intemporaine.
Giovanni décide de revisiter le Lac des cygnes tout en gardant les musiques de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Lueur d’espoir sera primé en concours nationaux et obtiendra des félicitations, ainsi qu’au concours international The Dance Trophy et également en catégorie perfectionnement de la Fédération Française de Danse. Cette même année, deux autres créations verront le jour et seront également primées : Grâce urbaine & Moi l’autre.
Quatre créations pour l’année 2014. Little crew, Déportés & Wind obtiendront premier et second prix en concours nationaux et en Fédération Française de Danse et ce, à l’unanimité ou au coup de coeur.
Giovanni et sa compagne Océane Rosier ont créé A bout de souffle, un duo sur leur histoire personnelle. Ils obtiennent des premiers prix et des félicitations en concours nationaux et internationaux : Temps-Danse & The Dance Trophy. Cette création sera présentée en niveau perfectionnement au sein de la Fédération Française de Danse et gravira tous les échelons.
A bout de souffle sera également diffusée sur la chaîne de télévision MDL à l’occasion du festival international Talent de scène régi par Marc Anthéor et Madame Zavatta.
En 2015, cerveau en effervescence; Giovanni décide de partir sur sept écritures chorégraphiques toutes plus différentes les unes que les autres. Trois solos : Les hauts et les bas & Le destin obtiendront premier et second prix en concours nationaux et en Fédération Française de Danse, toujours à l’unanimité ou au coup de coeur. Une soliste pour L’amour du malheur sera unanimement proclamée étoile d’un festival national en plus des félicitations, d’un premier prix et d’un stage international offert.
Pour Little crew 2, Balls & Le temps suspendu, même schéma. En revanche, pour Discordance, hommage à Pina Bausch, c’est une toute nouvelle direction. Giovanni décide de marcher sur les traces de Pina Bausch en revisitant sa version du Sacre du printemps. Cette création obtiendra le premier prix à l’unanimité en perfectionnement sur les mêmes concours, ainsi que l’attribution d’une mention pour l’engagement physique. Giovanni se fait remarqué pour sa création Discordance, hommage à Pina Bausch par Hervé Koubi qui lui propose dans un premier temps d’intégrer son équipe en tant qu’intervenant pédagogique puis en tant que danseur.
Début 2016 Giovanni finit ses missions en Bourgogne Franche-comté et peut enfin intégrer pleinement la compagnie Hervé KOUBI. En parallèle, il travaille avec Stefani Duchézeau Fleuri, élue du Sacre du printemps de Pina Bausch au Tanztheater Wuppertal. A deux, ils créent Prends garde à toi. Malgré le manque de temps, Giovanni s’attaque à un nouveau solo, Souviens toi d’oublier où il met en scène sa compagne Océane Rosier. Il se penche également du côté d’Israël et décide de revisiter une partie de la Deca Dance d’Ohad Naharin. Une fois de plus et au même titre que les créations précédemment citées, celles-ci seront primées. Une mention pour la prise de risque ainsi qu’une médaille de bronze lui seront attribuées en Fédération Française de Danse pour la création Salutem Spiritus, la revisite de la Deca Dance.
En mars 2016, Giovanni représente la compagnie Hervé KOUBI en solo au festival Français d’Acapulco, Mexique.
Depuis il est danseur interprète pour les créations Ce que le jour doit à la nuit & Les nuits barbares ou les premiers matins du mondes. Ils se produisent principalement en Europe, en Amérique et en Afrique.
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